Au YCD il y a une dizaine de voiliers traditionnels. Nous rangeons dans cette catégorie :

1) tous les bateaux voile-aviron jusqu’ à 5 m de long environ

  • qu’ils aient été créé sous ce nom, tels le très moderne et performant Litexp de Stefano, ou des prames traditionnelles au tiers ou à livarde.
  • ou qu’ils soient nés dans les années 60 70 comme dériveurs “familiaux” ayant aussi des rames efficaces : par exemple le Nordet de Carlos, le Piaf du club accessibles à tous les membres, et même des Optimist
  • et quelque soient leur gréement, moderne ou ancien: bermudien, au tiers, à livarde …

Pour quelles navigations :
Le plus souvent pour la promenade en famille, entre copains à un ou quelques bateaux, le long d’une Seine beaucoup plus verdoyante voir sauvage que l’on imaginerait
Détail important : ces bateaux passent sous les ponts et peuvent donc parcourir tout le bief à partir du YCD, remonter par exemple jusqu’à l’écluse de Soisy sur Seine.
L’été, beaucoup partent en vacances sur leur remorque

2) et quelques bateaux plus gros : un gros canot breton au tiers, un Super Odet à livarde, un magnifique Lebihan à gréement aurique.
Un Bar et un Requin en bois viendront les rejoindre à la fin de leur restauration.

3) Enfin quelques dériveurs du club vintage plus sportifs peuvent les accompagner en Seine, tels deux 420 dont un gréé en catboat et un Ponant.

Inventaire des voiles avirons :

    • deux petites prames très discrètes, plans Chasse Marée et Laita

    • des Optimist, privés ou au club : on ne présente plus cette boîte en bois avec une voile à livarde de toutes les écoles de voile du monde, mais Gaby nous avait montré que ce petit bateau stable convient très bien pour les longues promenades en Seine. Une pagaie suffit à pallier au manque de vent.

    • le Piaf du club : un dériveur de 3,75 m confortable des années 60, son gréement bermudien (marconi) de surface modérée lui confère une bonne sécurité sous voile. Il dispose d’une paire de rames.

    • le Zef de Guillaume est un dériveur similaire au Piaf en plus «pêchu». Les amoureux de la série compléteront ….

    • Le Vaurien, récemment acquis par le club et que Guillaume a remis à flot. Pour que ceux qui sont nés trop tard dans un monde trop moderne puissent aussi goûter à la légende …

    • Le Nordet de Carlos est un autre dériveur plastique et bois de 4,20 m du début 60. Il accélère bien sous voile et se cale en sécurité sur ses bouchains. Il dispose d’une paire de rames. (à droite sur la photo)

    • le Fine de Michel, un Finn de compétition de 4,50 m transformé en canot classique à pont bois. un allègement général et une voile au tiers de 10 m2 lui permet de conserver de bonnes performances, en sécurité. (à gauche sur la photo)

    • le Litexp de Stefano : Le voile aviron moderne et performant

    • le Kanoteko de Philippe: un joli sloop aurique en bois, léger et performant. Une stabilité supplémentaire lui est apportée par deux ballastes liquides

    • le Seil de Michel : c’est une réplique de prame norvégienne de 5,40 m plan Vivier. Il peut être performant au portant avec sa voile au tiers de presque 12 m2. Il a deux paires de rames.